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Oui. Toutefois, il est préférable de reporter tout traitement non urgent après l’accouchement ou pendant le deuxième trimestre de la grossesse.

Non. Cependant, il est recommandé de recourir à un professionnel pour ce type de traitement. À partir d’une concentration de 0,1 % en peroxyde d’hydrogène, le blanchiment n’est plus simplement un geste cosmétique. Un contrôle chez un professionnel de la santé buccodentaire est indispensable afin de dépister la cause de la coloration des dents, prendre en considération les possibles problèmes de santé buccaux et vérifier les soins présents en bouche. En effet, les résines composites ne réagissant pas au peroxyde peuvent poser un problème esthétique considérable. De plus, selon les concentrations de peroxyde d’hydrogène, les durées d’exposition et les fréquences d’application, ces produits peuvent avoir des effets néfastes pouvant provoquer une sensibilité accrue des dents et une irritation de la bouche. Il est donc important de consulter votre dentiste avant la première application.

Ce produit de blanchiment n’est pas recommandé aux personnes de moins de 18 ans.

Non, les deux se valent du moment qu’elles sont utilisées avec la bonne technique et durant le temps nécessaire.

Non. Chaque situation demande un examen clinique rigoureux auquel peuvent s’ajouter des examens complémentaires comme des radiographies. Un même problème peut aboutir à différentes solutions selon la situation du patient. De plus, lorsque nous fournissons un devis, nous l’accompagnons d’explications précises et transparentes afin que le patient ait une bonne compréhension du traitement, ce qui facilitera grandement la prise en charge ultérieure. Donner une estimation par téléphone révèlerait un manque de sérieux de la part du médecin dentiste.

Non, mais elles constituent un outil de diagnostic précieux dans de nombreuses situations. Elles permettent en effet au dentiste de fournir des explications éclairées au patient afin qu’il ait une meilleure compréhension du traitement.

Oui, à condition de les avoir payées au préalable. Les radiographies font partie de votre dossier médical, elles vous appartiennent. La plupart des cabinets dentaires sont équipés de radiographies numériques. Les fichiers sont donc facilement transmissibles sur une clef USB ou même par email.

Les rejets sont assez rares. Les implants dentaires sont faits de titane, un matériau biocompatible utilisé pour fabriquer presque toutes les prothèses osseuses. Une réaction de rejet de type allergique est très peu probable. Seul le non-respect des consignes pré et postopératoires ou bien une complication durant l’opération peuvent entraîner un échec précoce. Dans ce cas, après un temps de cicatrisation, une nouvelle pose d’implant sur le même site peut parfaitement être envisagée. Une fois l’implant intégré dans l’os, une couronne ajustée, une bonne hygiène quotidienne et un suivi régulier sont les garants d’un succès à long terme.

Oui, tout à fait. Les importants changements hormonaux que subit une femme enceinte modifient la composition de la salive (qui joue un rôle majeur dans la protection des dents. Cela entraîne un risque accru de caries et de gingivite chronique (très fréquente chez la femme enceinte) qui se manifeste par un saignement lors du brossage. De plus, beaucoup de femmes changent leurs habitudes alimentaires pendant une grossesse. Il est conseillé de faire un contrôle en début de grossesse et de redoubler de vigilance quant à l’hygiène buccale quotidienne.

Généralement, on ne réalise que les soins vraiment urgents pendant la grossesse (forte douleur, infection dentaire…). On évite le plus possible d’intervenir pendant le premier et le troisième trimestre, le second trimestre étant le plus favorable. Lors d’un rendez-vous, si une radiographie est nécessaire, vous portez un tablier de plomb afin d’isoler les rayons X et protéger intégralement le bébé. A la dose juste, les anesthésiques dentaires n’ont aucune conséquence pour le bébé (certainement moins que le stress engendré par une séance douloureuse !). En cas d’infection, il peut être indiqué de prescrire des antibiotiques en accord avec l’obstétricien qui supervise la grossesse.

Dès que possible ! Vers deux ans et demi, les enfants ont toutes leurs dents de lait. Il est important qu’ils fassent leur(s) première(s) consultations en dehors d’un contexte de soins pour se familiariser avec le cabinet dentaire. Cela facilitera grandement les traitements s’ils en ont besoin plus tard. Ces premières consultations sont très utiles pour mettre en place les bons réflexes de brossage et attirer l’attention sur l’importance d’une alimentation équilibrée, la moins riche en sucres possible.

C’est au cas par cas, il est possible de commencer dès l’âge de 6 ans, dans le cas ou la croissance des mâchoires ne se fait pas de façon harmonieuse.

Dans le cas de mâchoire étroite, elle permet d’éviter un futur traitement comprenant des extractions dentaires. Le diagnostic devra être posé après une évaluation complète (fonctions respiratoires, déglutition atypique, problèmes posturaux, mauvaise habitude tels que succion de pouce de lèvre, tétine) et après avoir vérifié que le positionnement actuel des dents de lait ne constitue pas un obstacle à la croissance normale.

L’objectif de l’interception est d’éviter ou de simplifier le traitement orthodontique.

Une dent à pivot est une couronne qui repose sur la racine de la dent qui est toujours présente ; l’ancrage de l’ensemble se fait par l’intermédiaire d’un tenon (ou pivot) scellé dans un logement aménagé à l’intérieur de la racine dentaire, après un traitement de racine. Lorsque la racine dentaire a été extraite dans son intégralité, il ne reste alors que l’os dans lequel est positionné un implant qui sert alors de racine artificielle. Actuellement, il n’existe plus de soin reposant sur une dent pivot.

Oui. Les couronnes sont faites de céramique et sont imperméables aux agressions quotidiennes que subit une bouche. En revanche, elles reposent sur un moignon et des racines dentaires qui restent sensibles aux caries. Lorsque les gencives se rétractent avec les années ou quand l’ajustement de la couronne n’est pas adéquat, le brossage de certaines zones peut s’avérer délicat et une carie peut se développer sous une couronne. Ces caries ne provoquent des douleurs que très tardivement (car les dents couronnées sont souvent dévitalisées), voire aucune douleur jusqu’au descellement de la couronne. Elles conduisent malheureusement très souvent à l’extraction de la dent concernée.

  • Dans le cas d’une obturation ou d’une couronne sur une dent vivante : si vous ressentez une douleur en constante augmentation, que vous avez un sentiment de « dent trop longue », vous souffrez peut-être d’une pulpite aiguë. Vous devez consulter en urgence. Seul un traitement chez un dentiste est efficace. Un AINS (anti-inflammatoire non stéroïdien comme l’aspirine ou l’ibuprofène) peut apporter un petit soulagement pendant deux à trois heures.
  • Dans le cas d’un traitement de racine : si vous ressentez une douleur persistante et qui tend à augmenter pendant plus de 48 heures, vous pourriez avoir un abcès ou faire réaction aux produits utilisés pendant le traitement. Un AINS (anti-inflammatoire non stéroïdien comme l’aspirine ou l’ibuprofène) peut calmer la douleur ; s’il n’apporte qu’un soulagement minime, consultez rapidement le médecin-dentiste.
  • Dans le cas d’une extraction dentaire : si vous ressentez une douleur en augmentation à partir du troisième jour après l’extraction, il se peut que vous ayez une infection de l’alvéole (alvéolite). Effectuez des irrigations de l’alvéole avec de l’eau oxygénée ou de la chlorhexidine associées à des anti-inflammatoires. S’il y a déjà une couverture antibiotique, consultez immédiatement le médecin-dentiste ou le médecin. S’il n’y a pas d’amélioration dans les 12 heures, consultez immédiatement.
  • Dans le cas d’une intervention parodontale (chirurgie ou curetage) : si vous ressentez une douleur en augmentation à partir du deuxième ou du troisième jour, il se peut que vous ayez une surinfection. Des rinçages antiseptiques et des anti-inflammatoires peuvent vous aider à vous soulager. Malgré la douleur, il est impératif de s’astreindre aux recommandations d’hygiène prescrites par le médecin-dentiste. Utilisez une brosse à dents très douce. Sans amélioration dans les 12 heures, consultez le médecin-dentiste.
  • Dans le cas d’un traitement orthodontique (activation de l’appareil fixe ou amovible)
    • Si vous avez un cas appareil fixe : ressentir une douleur pendant les 36 heures après l’activation est relativement normal. Prenez un AINS (anti-inflammatoire non stéroïdien comme l’aspirine ou l’ibuprofène). Il devrait vous aider à soulager la douleur.
    • En cas d’appareillage amovible : vérifier qu’il n’y a pas eu une activation exagérée. Si oui, revenez en arrière ; si non, consultez le médecin-dentiste et renoncez éventuellement au port de l’appareil le temps de consulter.
  • Traitements dentaires :
    • si vous ressentez une douleur au niveau de la muqueuse dans la cavité buccale, il s’agit probablement de blessures ou d’ulcérations de type aphtes. Celles-ci peuvent être soulagées par des produits anesthésiants topiques ou des pansements muqueux.
    • si vous ressentez une douleur au bord des lèvres, il s’agit de douleurs dues à l’étirement. Passer une crème grasse sur vos lèvres. Cela devrait vous soulager.

Au cours d’une prise de radio, vous absorbez des rayons. Vous absorbez également des rayons par votre simple présence sur Terre. Pour vous donner un ordre de grandeur, une radiographie dentaire représente l’équivalent de 6 h de vie sur la planète. Une cigarette est plus irradiante qu’une radiographie dentaire. On peut donc dire que non, les radiographies dentaires ne sont pas dangereuses, mais l’accumulation d’une multitude de clichés peut le devenir. C’est pour cette raison que nos dentistes limitent autant que possible l’utilisation de l’imagerie rayonnante.